Une histoire bien compliqué [Julie Marcey]

[justify]Je ne pouvais rien répondre à ce qu'elle me disait, je la voyait ce relever et venir ce pencher vers moi, surprit comme la veille, je ne bougeais pas, elle n'allait pas de nouveau m'embrasser, non son visage près de mon oreille elle reprenait la parole en m'annonçant les mots qui confirmait tout ce que je pensais en entendant que pour elle ce baiser n'était pas une erreur. Et voilà comment je restais sans voix face à elle, je la voyais ce redresser et retourner avec le groupe, debout à côté de JT et les autres assit, mon regard dirigeait vers elle, je n'arrivais pas à l'enlever de mon champ de vision. Rangeant les feuilles dans ma sacoche, je me relevais laissant les sous pour payer mon café sur la table et je m'avançais vers le groupe, en arrivant vers Julie ma main ce déposait au niveau de sa hanche et en venant me placer à côté d'elle et lui dire que je n'étais pas aussi bien qu'elle le pensait, pourquoi lui dire cela, je ne savais pas moi même, mais je le disais. En m'adressant au groupe je me retrouvais entre JT et Julie, ma main toujours sur la hanche de celle-ci, peut-être n'était-il pas aussi simple que cela pour moi non plus cette situation, et je confirmais ce que je disais intérieurement. Julie avait été tout comme moi discrète pour me répondre, et quand elle répondait à ma question général je restais naturel comme si elle n'avait rien dit. Les autres avaient rapidement répondu positif, ce qui montrait un sourire sur mes lèvres en annonçant au groupe qu'il devait enlever Julie avant le cours pour aller voir le proviseur, excuses trouvé bien entendu pour pouvoir lui parler en étant seul avec elle. Aux questions que Julie me posait je répondais positivement d'un geste de la tête, avant qu'elle ne donne rendez-vous à ses amis pour le déjeuné, retirant ma main de sa hanche, que fort heureusement personne avait remarqué. Quittant le café avec elle, en marchant dans les rues de la ville, j'évitais de répondre à ses questions, enfin je ne répondais qu'à celle concernant le pseudo rendez-vous avec le proviseur pour les cours qu'elle a manqué. En entrant dans l'école, Julie ne disait rien de plus que des demandes concernant la demande du proviseur, en marchant avec elle je lui dis que je montais les affaires dans la salle qui était désormais la mienne, à sa demande de l'attendre ici, je me contentais de lui répondre négativement d'un geste de la tête. Je montais les étages, avant d'arriver devant ma salle, cherchant les clés dans ma sacoche, je ne tardais pas à mettre la main dessus pour ouvrir les portes et faire entrer Julie à l'intérieur pour faire de même tout juste après prenant soin de fermer le rectangle en bois derrière moi venant déposer ma sacoche à mon bureau je me retourne vers elle en lui disant qu'il était temps que l'on parle sérieusement, en l'écoutant me répondre, je m'avançais vers elle pour venir être à son niveau et la regarder, et un sourire sur mes lèvres n'ayant rien à ajouter comme elle me le demandait, je ne sais pas pourquoi mais en arrivant là juste près d'elle mon premier réflexe était de venir l'embrasser. Trop de confusion, une attirance qui au final ne sera pas aussi fort que l'amour que j'ai pour Ophélie, mais en 27 ans de vie je n'ai jamais fait aucun pas de travers sur le plan amoureux, aujourd'hui j'en commettais un.[justify]

Après cela, je me levait et légèrement pencher ma tête vers son oreille pour lui dire je t'aime, idiot de ma part peut être mais de toute façon s'il aime une autre ça ne devrait rien faire, il s'en fiche de ce que je peux lui dire vous ne trouvez pas? Je n'allais pas l'embrasser, même si c'était tout de même tentant je ne ferais rien, c'est finit. Alors je me relevais et partais en direction du groupe assis autour d'une table et m'installer debout à côté de JT. J'essayais de penser à autre chose que le fait qu'il était juste derrière moi, à me regarder sans doute. Mais quand il s'approche de nous se mettant ainsi entre moi et JT je le regarde surpris, il y avait de la place ailleurs pourquoi entre nous deux? Serait il finalement jaloux? Non faut que j'arrête de rêver, mais quand il pose sa main sur ma hanche il va de surprise en surprise là et je l'écoute me parler. Je lui dis alors doucement que je ne sais pas si ce n'est pas un mec bien, et l'écoutant demander aux autres si ça va bien je lui dis discrêtement que non ça ne va pas. Tout le monde répond positif et je vois le regard insistant de JT, et je lui fais un signe négatif de la tête avant que Remy reprenne la parole et je viens d'apprendre que le proviseur veut me voir, je suis pas sure que ça soit ça mais bon. Je me demande bien ce qu'il veut de moi, et je suis pas totalement rassuré mais bon je donnes rendez vous au autre au déjeuner, il enlève sa main de ma hanche et nous partons du café sous le regard des autres, nous marchons dans les rues mais je ne suis pas à l'aise avec lui. Enfin soit, ça ne durera pas longtemps je lui pose des questions sur ce fameux rendez vous et nous arrivons finalement à l'école. Quand il me dit qu'il dépose ses affaires dans le salle et qu'on va voir James, je le regarde et lui dis alors finalement que je peux l'attendre en bas et qu'il me rejoigne mais il me fait un signe négatif. Je montes donc avec lui au deuxième étage et je le suis, il ouvre donc la porte après les avoir prit dans sa sacoche et entre la première après qu'il rentre et qu'il referme derrière lui. Il vient déposer ses affaires sur le bureau et me dit qu'il serait temps qu'on parle sérieusement tous les deux, je lui dis que moi j'ai tous dis mais que s'il a quelque chose à me dire je l'écoute. Il s'approche donc de moi et me souriant il vient déposer ses lèvres sur les miennes. Mais non, il avait pas le droit. Je prolonges malgré tout son baiser, et me reculant après pour reprendre mon souffle je passes une main dans mes cheveux et lui dis:

Pourquoi tu as fais ça?

Je ne pouvais rien répondre à ce qu'elle me disait, je la voyait ce relever et venir ce pencher vers moi, surprit comme la veille, je ne bougeais pas, elle n'allait pas de nouveau m'embrasser, non son visage près de mon oreille elle reprenait la parole en m'annonçant les mots qui confirmait tout ce que je pensais en entendant que pour elle ce baiser n'était pas une erreur. Et voilà comment je restais sans voix face à elle, je la voyais ce redresser et retourner avec le groupe, debout à côté de JT et les autres assit, mon regard dirigeait vers elle, je n'arrivais pas à l'enlever de mon champ de vision. Rangeant les feuilles dans ma sacoche, je me relevais laissant les sous pour payer mon café sur la table et je m'avançais vers le groupe, en arrivant vers Julie ma main ce déposait au niveau de sa hanche et en venant me placer à côté d'elle et lui dire que je n'étais pas aussi bien qu'elle le pensait, pourquoi lui dire cela, je ne savais pas moi même, mais je le disais. En m'adressant au groupe je me retrouvais entre JT et Julie, ma main toujours sur la hanche de celle-ci, peut-être n'était-il pas aussi simple que cela pour moi non plus cette situation, et je confirmais ce que je disais intérieurement. Julie avait été tout comme moi discrète pour me répondre, et quand elle répondait à ma question général je restais naturel comme si elle n'avait rien dit. Les autres avaient rapidement répondu positif, ce qui montrait un sourire sur mes lèvres en annonçant au groupe qu'il devait enlever Julie avant le cours pour aller voir le proviseur, excuses trouvé bien entendu pour pouvoir lui parler en étant seul avec elle. Aux questions que Julie me posait je répondais positivement d'un geste de la tête, avant qu'elle ne donne rendez-vous à ses amis pour le déjeuné, retirant ma main de sa hanche, que fort heureusement personne avait remarqué. Quittant le café avec elle, en marchant dans les rues de la ville, j'évitais de répondre à ses questions, enfin je ne répondais qu'à celle concernant le pseudo rendez-vous avec le proviseur pour les cours qu'elle a manqué. En entrant dans l'école, Julie ne disait rien de plus que des demandes concernant la demande du proviseur, en marchant avec elle je lui dis que je montais les affaires dans la salle qui était désormais la mienne, à sa demande de l'attendre ici, je me contentais de lui répondre négativement d'un geste de la tête. Je montais les étages, avant d'arriver devant ma salle, cherchant les clés dans ma sacoche, je ne tardais pas à mettre la main dessus pour ouvrir les portes et faire entrer Julie à l'intérieur pour faire de même tout juste après prenant soin de fermer le rectangle en bois derrière moi venant déposer ma sacoche à mon bureau je me retourne vers elle en lui disant qu'il était temps que l'on parle sérieusement, en l'écoutant me répondre, je m'avançais vers elle pour venir être à son niveau et la regarder, et un sourire sur mes lèvres n'ayant rien à ajouter comme elle me le demandait, je ne sais pas pourquoi mais en arrivant là juste près d'elle mon premier réflexe était de venir l'embrasser. Trop de confusion, une attirance qui au final ne sera pas aussi fort que l'amour que j'ai pour Ophélie, mais en 27 ans de vie je n'ai jamais fait aucun pas de travers sur le plan amoureux, aujourd'hui j'en commettais un. Pour le moment il n'était pas si important que cela, enfin oui mais non. Je m'embrouillais tout seul, mais c'était tellement agréable de sentir ses lèvres contre les miennes, et de ne pas être rejeté par ce moment d'égarement qui ne l'était pas en réalité. Ce baiser s'arrêtait après que Julie l'est prolongé, et mon regard était dirigeait vers elle, je la laissais parler, me demander pourquoi j'avais fait cela, mais la réponse était simple non ?

« J'en avais envie. »

Après cela, je me levait et légèrement pencher ma tête vers son oreille pour lui dire je t'aime, idiot de ma part peut être mais de toute façon s'il aime une autre ça ne devrait rien faire, il s'en fiche de ce que je peux lui dire vous ne trouvez pas? Je n'allais pas l'embrasser, même si c'était tout de même tentant je ne ferais rien, c'est finit. Alors je me relevais et partais en direction du groupe assis autour d'une table et m'installer debout à côté de JT. J'essayais de penser à autre chose que le fait qu'il était juste derrière moi, à me regarder sans doute. Mais quand il s'approche de nous se mettant ainsi entre moi et JT je le regarde surpris, il y avait de la place ailleurs pourquoi entre nous deux? Serait il finalement jaloux? Non faut que j'arrête de rêver, mais quand il pose sa main sur ma hanche il va de surprise en surprise là et je l'écoute me parler. Je lui dis alors doucement que je ne sais pas si ce n'est pas un mec bien, et l'écoutant demander aux autres si ça va bien je lui dis discrêtement que non ça ne va pas. Tout le monde répond positif et je vois le regard insistant de JT, et je lui fais un signe négatif de la tête avant que Remy reprenne la parole et je viens d'apprendre que le proviseur veut me voir, je suis pas sure que ça soit ça mais bon. Je me demande bien ce qu'il veut de moi, et je suis pas totalement rassuré mais bon je donnes rendez vous au autre au déjeuner, il enlève sa main de ma hanche et nous partons du café sous le regard des autres, nous marchons dans les rues mais je ne suis pas à l'aise avec lui. Enfin soit, ça ne durera pas longtemps je lui pose des questions sur ce fameux rendez vous et nous arrivons finalement à l'école. Quand il me dit qu'il dépose ses affaires dans le salle et qu'on va voir James, je le regarde et lui dis alors finalement que je peux l'attendre en bas et qu'il me rejoigne mais il me fait un signe négatif. Je montes donc avec lui au deuxième étage et je le suis, il ouvre donc la porte après les avoir prit dans sa sacoche et entre la première après qu'il rentre et qu'il referme derrière lui. Il vient déposer ses affaires sur le bureau et me dit qu'il serait temps qu'on parle sérieusement tous les deux, je lui dis que moi j'ai tous dis mais que s'il a quelque chose à me dire je l'écoute. Il s'approche donc de moi et me souriant il vient déposer ses lèvres sur les miennes. Mais non, il avait pas le droit. Je prolonges malgré tout son baiser, et me reculant après pour reprendre mon souffle je passes une main dans mes cheveux je lui demande pourquoi il a fait ça, c'est vrai il y a pas longtemps il me disait que notre baiser d'hier était une erreur et maintenant il m'embrasse. On rembobine et on recommence, parce que là je comprends plus rien. Je le regarde alors et croisant les bras, je lui dis alors:

C'est bien que t'en est envie, mais on fait quoi maintenant?

Je ne pouvais rien répondre à ce qu'elle me disait, je la voyait ce relever et venir ce pencher vers moi, surprit comme la veille, je ne bougeais pas, elle n'allait pas de nouveau m'embrasser, non son visage près de mon oreille elle reprenait la parole en m'annonçant les mots qui confirmait tout ce que je pensais en entendant que pour elle ce baiser n'était pas une erreur. Et voilà comment je restais sans voix face à elle, je la voyais ce redresser et retourner avec le groupe, debout à côté de JT et les autres assit, mon regard dirigeait vers elle, je n'arrivais pas à l'enlever de mon champ de vision. Rangeant les feuilles dans ma sacoche, je me relevais laissant les sous pour payer mon café sur la table et je m'avançais vers le groupe, en arrivant vers Julie ma main ce déposait au niveau de sa hanche et en venant me placer à côté d'elle et lui dire que je n'étais pas aussi bien qu'elle le pensait, pourquoi lui dire cela, je ne savais pas moi même, mais je le disais. En m'adressant au groupe je me retrouvais entre JT et Julie, ma main toujours sur la hanche de celle-ci, peut-être n'était-il pas aussi simple que cela pour moi non plus cette situation, et je confirmais ce que je disais intérieurement. Julie avait été tout comme moi discrète pour me répondre, et quand elle répond ait à ma question général je restais naturel comme si elle n'avait rien dit. Les autres avaient rapidement répondu positif, ce qui montrait un sourire sur mes lèvres en annonçant au groupe qu'il devait enlever Julie avant le cours pour aller voir le proviseur, excuses trouvé bien entendu pour pouvoir lui parler en étant seul avec elle. Aux questions que Julie me posait je répondais positivement d'un geste de la tête, avant qu'elle ne donne rendez-vous à ses amis pour le déjeuné, retirant ma main de sa hanche, que fort heureusement personne avait remarqué. Quittant le café avec elle, en marchant dans les rues de la ville, j'évitais de répondre à ses questions, enfin je ne répondais qu'à celle concernant le pseudo rendez-vous avec le proviseur pour les cours qu'elle a manqué. En entrant dans l'école, Julie ne disait rien de plus que des demandes concernant la demande du proviseur, en marchant avec elle je lui dis que je montais les affaires dans la salle qui était désormais la mienne, à sa demande de l'attendre ici, je me contentais de lui répondre négativement d'un geste de la tête. Je montais les étages, avant d'arriver devant ma salle, cherchant les clés dans ma sacoche, je ne tardais pas à mettre la main dessus pour ouvrir les portes et faire entrer Julie à l'intérieur pour faire de même tout juste après prenant soin de fermer le rectangle en bois derrière moi venant déposer ma sacoche à mon bureau je me retourne vers elle en lui disant qu'il était temps que l'on parle sérieusement, en l'écoutant me répondre, je m'avançais vers elle pour venir être à son niveau et la regarder, et un sourire sur mes lèvres n'ayant rien à ajouter comme elle me le demandait, je ne sais pas pourquoi mais en arrivant là juste près d'elle mon premier réflexe était de venir l'embrasser. Trop de confusion, une attirance qui au final ne sera pas aussi fort que l'amour que j'ai pour Ophélie, mais en 27 ans de vie je n'ai jamais fait aucun pas de travers sur le plan amoureux, aujourd'hui j'en commettais un. Pour le moment il n'était pas si important que cela, enfin oui mais non. Je m'embrouillais tout seul, mais c'était tellement agréable de sentir ses lèvres contre les miennes, et de ne pas être rejeté par ce moment d'égarement qui ne l'était pas en réalité. Ce baiser s'arrêtait après que Julie l'est prolongé, et mon regard était dirigeait vers elle, je la laissais parler, me demander pourquoi j'avais fait cela, mais la réponse était simple non ? Ma réponse était aussi toute simple, j'en avais tout simplement avant, et en la voyant croiser les bras et me demander ce qu'on devait faire maintenant, je ne trouvais pas d'autre possibilité que de rééditer mon geste, en venant de nouveau l'embrasser. Pour quelqu'un qui a toujours été fidèle j'avais bien du mal à résister à tout cela en ce moment moi.

Après cela, je me levait et légèrement pencher ma tête vers son oreille pour lui dire je t'aime, idiot de ma part peut être mais de toute façon s'il aime une autre ça ne devrait rien faire, il s'en fiche de ce que je peux lui dire vous ne trouvez pas? Je n'allais pas l'embrasser, même si c'était tout de même tentant je ne ferais rien, c'est finit. Alors je me relevais et partais en direction du groupe assis autour d'une table et m'installer debout à côté de JT. J'essayais de penser à autre chose que le fait qu'il était juste derrière moi, à me regarder sans doute. Mais quand il s'approche de nous se mettant ainsi entre moi et JT je le regarde surpris, il y avait de la place ailleurs pourquoi entre nous deux? Serait il finalement jaloux? Non faut que j'arrête de rêver, mais quand il pose sa main sur ma hanche il va de surprise en surprise là et je l'écoute me parler. Je lui dis alors doucement que je ne sais pas si ce n'est pas un mec bien, et l'écoutant demander aux autres si ça va bien je lui dis discrêtement que non ça ne va pas. Tout le monde répond positif et je vois le regard insistant de JT, et je lui fais un signe négatif de la tête avant que Remy reprenne la parole et je viens d'apprendre que le proviseur veut me voir, je suis pas sure que ça soit ça mais bon. Je me demande bien ce qu'il veut de moi, et je suis pas totalement rassuré mais bon je donnes rendez vous au autre au déjeuner, il enlève sa main de ma hanche et nous partons du café sous le regard des autres, nous marchons dans les rues mais je ne suis pas à l'aise avec lui. Enfin soit, ça ne durera pas longtemps je lui pose des questions sur ce fameux rendez vous et nous arrivons finalement à l'école. Quand il me dit qu'il dépose ses affaires dans le salle et qu'on va voir James, je le regarde et lui dis alors finalement que je peux l'attendre en bas et qu'il me rejoigne mais il me fait un signe négatif. Je montes donc avec lui au deuxième étage et je le suis, il ouvre donc la porte après les avoir prit dans sa sacoche et entre la première après qu'il rentre et qu'il referme derrière lui. Il vient déposer ses affaires sur le bureau et me dit qu'il serait temps qu'on parle sérieusement tous les deux, je lui dis que moi j'ai tous dis mais que s'il a quelque chose à me dire je l'écoute. Il s'approche donc de moi et me souriant il vient déposer ses lèvres sur les miennes. Mais non, il avait pas le droit. Je prolonges malgré tout son baiser, et me reculant après pour reprendre mon souffle je passes une main dans mes cheveux je lui demande pourquoi il a fait ça, c'est vrai il y a pas longtemps il me disait que notre baiser d'hier était une erreur et maintenant il m'embrasse. On rembobine et on recommence, parce que là je comprends plus rien. Je le regarde alors et croisant les bras, lui demande ce qu'on fait. Mais voilà qu'il recommence son baiser et je suis obligé de prolonger, passant mes bras autour de son cou je me laisse aller complétement. Moi qui devait oublier mes sentiments, j'étais bien mal partie.

Je ne pouvais rien répondre à ce qu'elle me disait, je la voyait ce relever et venir ce pencher vers moi, surprit comme la veille, je ne bougeais pas, elle n'allait pas de nouveau m'embrasser, non son visage près de mon oreille elle reprenait la parole en m'annonçant les mots qui confirmait tout ce que je pensais en entendant que pour elle ce baiser n'était pas une erreur. Et voilà comment je restais sans voix face à elle, je la voyais ce redresser et retourner avec le groupe, debout à côté de JT et les autres assit, mon regard dirigeait vers elle, je n'arrivais pas à l'enlever de mon champ de vision. Rangeant les feuilles dans ma sacoche, je me relevais laissant les sous pour payer mon café sur la table et je m'avançais vers le groupe, en arrivant vers Julie ma main ce déposait au niveau de sa hanche et en venant me placer à côté d'elle et lui dire que je n'étais pas aussi bien qu'elle le pensait, pourquoi lui dire cela, je ne savais pas moi même, mais je le disais. En m'adressant au groupe je me retrouvais entre JT et Julie, ma main toujours sur la hanche de celle-ci, peut-être n'était-il pas aussi simple que cela pour moi non plus cette situation, et je confirmais ce que je disais intérieurement. Julie avait été tout comme moi discrète pour me répondre, et quand elle répond ait à ma question général je restais naturel comme si elle n'avait rien dit. Les autres avaient rapidement répondu positif, ce qui montrait un sourire sur mes lèvres en annonçant au groupe qu'il devait enlever Julie avant le cours pour aller voir le proviseur, excuses trouvé bien entendu pour pouvoir lui parler en étant seul avec elle. Aux questions que Julie me posait je répondais positivement d'un geste de la tête, avant qu'elle ne donne rendez-vous à ses amis pour le déjeuné, retirant ma main de sa hanche, que fort heureusement personne avait remarqué. Quittant le café avec elle, en marchant dans les rues de la ville, j'évitais de répondre à ses questions, enfin je ne répondais qu'à celle concernant le pseudo rendez-vous avec le proviseur pour les cours qu'elle a manqué. En entrant dans l'école, Julie ne disait rien de plus que des demandes concernant la demande du proviseur, en marchant avec elle je lui dis que je montais les affaires dans la salle qui était désormais la mienne, à sa demande de l'attendre ici, je me contentais de lui répondre négativement d'un geste de la tête. Je montais les étages, avant d'arriver devant ma salle, cherchant les clés dans ma sacoche, je ne tardais pas à mettre la main dessus pour ouvrir les portes et faire entrer Julie à l'intérieur pour faire de même tout juste après prenant soin de fermer le rectangle en bois derrière moi venant déposer ma sacoche à mon bureau je me retourne vers elle en lui disant qu'il était temps que l'on parle sérieusement, en l'écoutant me répondre, je m'avançais vers elle pour venir être à son niveau et la regarder, et un sourire sur mes lèvres n'ayant rien à ajouter comme elle me le demandait, je ne sais pas pourquoi mais en arrivant là juste près d'elle mon premier réflexe était de venir l'embrasser. Trop de confusion, une attirance qui au final ne sera pas aussi fort que l'amour que j'ai pour Ophélie, mais en 27 ans de vie je n'ai jamais fait aucun pas de travers sur le plan amoureux, aujourd'hui j'en commettais un. Pour le moment il n'était pas si important que cela, enfin oui mais non. Je m'embrouillais tout seul, mais c'était tellement agréable de sentir ses lèvres contre les miennes, et de ne pas être rejeté par ce moment d'égarement qui ne l'était pas en réalité. Ce baiser s'arrêtait après que Julie l'est prolongé, et mon regard était dirigeait vers elle, je la laissais parler, me demander pourquoi j'avais fait cela, mais la réponse était simple non ? Ma réponse était aussi toute simple, j'en avais tout simplement avant, et en la voyant croiser les bras et me demander ce qu'on devait faire maintenant, je ne trouvais pas d'autre possibilité que de rééditer mon geste, en venant de nouveau l'embrasser. Pour quelqu'un qui a toujours été fidèle j'avais bien du mal à résister à tout cela en ce moment moi. En sentant le baiser ce prolonger de la part de Julie et de sentir ses mains venir ce mettre autour de mon cou, je mettais mes mains sur ses hanches, avant qu'elle ne suive mon geste en venant s'allonger au sol, j'étais là tout juste au dessus d'elle en train de l'embrasser. Mes mains venait sur ses cuisses recouvert du jean qu'elle portait.

Après cela, je me levait et légèrement pencher ma tête vers son oreille pour lui dire je t'aime, idiot de ma part peut être mais de toute façon s'il aime une autre ça ne devrait rien faire, il s'en fiche de ce que je peux lui dire vous ne trouvez pas? Je n'allais pas l'embrasser, même si c'était tout de même tentant je ne ferais rien, c'est finit. Alors je me relevais et partais en direction du groupe assis autour d'une table et m'installer debout à côté de JT. J'essayais de penser à autre chose que le fait qu'il était juste derrière moi, à me regarder sans doute. Mais quand il s'approche de nous se mettant ainsi entre moi et JT je le regarde surpris, il y avait de la place ailleurs pourquoi entre nous deux? Serait il finalement jaloux? Non faut que j'arrête de rêver, mais quand il pose sa main sur ma hanche il va de surprise en surprise là et je l'écoute me parler. Je lui dis alors doucement que je ne sais pas si ce n'est pas un mec bien, et l'écoutant demander aux autres si ça va bien je lui dis discrêtement que non ça ne va pas. Tout le monde répond positif et je vois le regard insistant de JT, et je lui fais un signe négatif de la tête avant que Remy reprenne la parole et je viens d'apprendre que le proviseur veut me voir, je suis pas sure que ça soit ça mais bon. Je me demande bien ce qu'il veut de moi, et je suis pas totalement rassuré mais bon je donnes rendez vous au autre au déjeuner, il enlève sa main de ma hanche et nous partons du café sous le regard des autres, nous marchons dans les rues mais je ne suis pas à l'aise avec lui. Enfin soit, ça ne durera pas longtemps je lui pose des questions sur ce fameux rendez vous et nous arrivons finalement à l'école. Quand il me dit qu'il dépose ses affaires dans le salle et qu'on va voir James, je le regarde et lui dis alors finalement que je peux l'attendre en bas et qu'il me rejoigne mais il me fait un signe négatif. Je montes donc avec lui au deuxième étage et je le suis, il ouvre donc la porte après les avoir prit dans sa sacoche et entre la première après qu'il rentre et qu'il referme derrière lui. Il vient déposer ses affaires sur le bureau et me dit qu'il serait temps qu'on parle sérieusement tous les deux, je lui dis que moi j'ai tous dis mais que s'il a quelque chose à me dire je l'écoute. Il s'approche donc de moi et me souriant il vient déposer ses lèvres sur les miennes. Mais non, il avait pas le droit. Je prolonges malgré tout son baiser, et me reculant après pour reprendre mon souffle je passes une main dans mes cheveux je lui demande pourquoi il a fait ça, c'est vrai il y a pas longtemps il me disait que notre baiser d'hier était une erreur et maintenant il m'embrasse. On rembobine et on recommence, parce que là je comprends plus rien. Je le regarde alors et croisant les bras, lui demande ce qu'on fait. Mais voilà qu'il recommence son baiser et je suis obligé de prolonger, passant mes bras autour de son cou je me laisse aller complétement. Moi qui devait oublier mes sentiments, j'étais bien mal partie. Il venait alors poser ses mains sur mes hanches et suivant son geste, nous nous retrouvions tous les deux allonger au sol, lui au dessus de moi. Alors que nos lèvres ne se quittent plus, il vient déposer ses mains sur mes cuisses recouvert de mon jean et moi je commence à déboutonner sa chemise avant de lui retirer.

Les erreurs arrivent souvent bien trop vite, et malheureusement aujourd'hui non seulement elle arrivait vite, mais en plus j'étais responsable de cette erreur, c'est moi qui avait demandé à Julie de me suivre à l'école pour un soit disant rendez-vous avec le proviseur de l'école que j'avais inventé pour lui parler. La discussion avait tourné bien court, à la première question qu'elle me posait où je n'avais pas de réponse je ne trouvais rien de mieux que de l'embrasser comme si c'était normal. On avait souvent cité dans mes qualités d'être fidèle à la femme que j'aime, aujourd'hui je les contredisais tous. J'étais là presque allongé sur le sol, au dessus de cette fille qui était mon élève, une main sur le sol pour me tenir et l'autre qui ce baladait sur la cuisse gauche de Julie, et nos lèvres s'amusaient entre elle, comme si on était un couple, ou des amoureux qui cédaient à une attirance bien facile. Mais tout était bien plus compliqué, j'avais une copine que j'aimais et avec qui je vivais le parfaite amour depuis plus de deux ans.

Je sentais ses mains quitter doucement mon cou qu'elles entouraient, pour venir descendre doucement, je sentais ses dix doigts venir ce mettre sur ma chemise, pour la déboutonner, un léger sourire sur mon lèvre alors que notre baiser ne s'arrêtait pas, je venais remonter ma main doucement de la cuisse de Julie pour qu'elle revienne au niveau de sa hanche, où je faisais mes cinq doigts sous son haut afin de sentir sa douce peau, qu'inconsciemment j'avais longuement imaginé, même si je reniais et que je renie toujours l'aimer d'ailleurs !!! Doucement ma chemise laisser entrer l'air frais de la salle, je sentais de moins en moins le tissus sur ma peau, en me redressant de pas beaucoup afin de toujours embrasser Julie, je mettais mes bras de façon à ce que ma chemise ce retire. A ce moment précis mon téléphone qui ce trouvait dans ma sacoche sonnait, je l'avais entendu mais aucune envie me venais de me lever et voir qui appelait, pas maintenant, non je venais remettre ma main sous le haut de la blonde avec qui j'étais en train d'aller plus loin que ce qu'on nous autorisait. Mais quand ce petit appareil sonnait une nouvelle fois après le première appel, je n'avais pas d'autre choix que de rompre ce moment, cessait ce baiser en regardant Julie, avant de me relever et venir à mon bureau pour prendre dans ma sacoche le téléphone. En voyant ce prénom, mon cœur ne fit qu'un bon, je revenais à la réalité, j'étais en train de faire une erreur avec Julie, en train de braver un interdit qui m'attirais, mais je n'avais pas le droit de céder, ce prénom n'était nul autre que Ophélie. Sans répondre je venais reposer, mon téléphone sur le bureau en baissant mon regard en même temps, j'étais là, dans cette salle où je donnais mes cours, torse nu et surement pas loin de coucher avec une de mes élèves alors que pendant ce temps là ma petite amie essai de me joindre. J'avais raison en disant à Julie que je n'étais pas aussi bien qu'on pouvait le penser en me voyant, relevant mon regard je me tournais vers Julie en reprenant ma respiration.

« Je sais pas pourquoi ça me fait ça, pourquoi je suis en train de faire ce que j'ai toujours dis comme minable, tromper sa copine. C'est pas de ta faute Julie, mais la mienne, depuis que tu es arrivé je sais pas vraiment ce que je fais, et je m'excuse, mais je peux pas … Je peux pas faire ça à Ophélie. »

Suivre mon prof pour aller à u soit disant rendez vous avec le proviseur pour mes deux mois et demi de retard était sans doute et de loin la plus grave erreur que je pouvais commettre. Mais quand votre prof vous dis qu'il y a un rendez vous, et en plus de cela devant tous vos amis, pas le choix que d'y aller. Je les avais donc laisser tous à la table au café pour suivre Remy jusqu'à l'école afin d'aller à ce rendez vous, et personnellement je n'y croyais pas vraiment puisque dés le début j'avais vu le proviseur. Enfin soit, ça se pouvait il avait peut être oublier de me dire des choses importante, enfin de toute façon je n'allais plus tarder à le savoir puisque nous arrivons à l'école mais nous passons par la salle de Remy. Et là quand il me dit qu'on devrait parler sérieusement, je comprends alors que ce fameux rendez vous n'était qu'une excuse trouvé pour que nous soyons tous les deux ce qui ne me plait guère. Mais dés la première question, il s'est approché de moi et a déposé ses lèvres sur les miennes. A ce moment là, j'aurais du le repousser lui faire comprendre que c'était pas possible il était, enfin il est avec une autre fille et moi je dois l'oublier. Mais non, rien à faire rien qu'en sentant ses lèvres sur les miennes j'ai su simplement prolongé son baiser. Quel idiotie j'avais pu commettre, je vous assure.

Nous étions maintenant au sol, Remy sur moi et à ce moment là on se rendait pas compte dans quoi on s'embarquait. Alors que nos lèvres ne se quittent plus et que ses mains sont sur mes jambes, je relâche l'emprise autour de son cou pour venir déboutonner sa chemise afin de lui retirer. Lui vient remonter une de ses mains sur mes hanches afin de le passer sous mon haut. Au contact de sa peau si douce, un frisson me parcourt le long du corps et je commence à prendre conscience de ce qu'il se passe, et je crois que je ne pourrais pas. Je ne veux pas refaire la même erreur qu'avec mon ex, c'est impossible. Mais voilà qu'on venait s'interrompre par son portable qui sonnait pour lui faire comprendre que quelqu'un chercher à le joindre, mais apparemment il n'était pas décider à répondre et continuer à balader sa main sous mon haut. Je passes une main dans mes cheveux et je suis prête à lui dire d'arrêter quand son portable sonne une nouvelle fois et il se relève me regardant et quand il voit celui qu'il l'appelle, il change carrément de visage. Et oui sa petite amie refait apparition c'était sure, je me relèves alors redescendant mon haut sur mon jean et l'écoute parler. J'ai envie de lui crier que c'est un salaud, qu'il joue avec le cœur des filles pour finalement les briser, que c'est loin d'être un mec bien mais je le ferais pas tout est de ma faute si je l'avais pas embrasser la veille tout ça ne serait pas arriver, si je n'étais pas venue ici rien ne serait arriver. Je lui lance sa chemise pour qu'il la remette et lui dis alors finalement:

Tu sais, je ne comprends pas non plus cette attirance parce qu'en plus de cela je voulais t'oublier...et je n'aurais pas pu de toute façon aller plus loin je t'aurais arrêté à cause de mon passé alors tu n'as pas à t'en vouloir, mais tu dois t'en vouloir pour une chose d'avoir était à deux doigts de tromper ta copine je suis sure que c'est une fille bien et tu n'as pas le droit de lui faire ça, comme à moi de faire ça c'est injuste!

Je reprends mon souffle et alors que je vois qu'il veut me parler, je le stop de la main lui faisant comprendre que j'ai pas finis et lui dis finalement:

Mais depuis mon arrivée, rien n'a était bon et je ne suis pas sure d'avoir fait un bon choix de venir ici! Alors je repars pour Enid cet après-midi, vous ne me verrez plus et vous pourrez être de nouveau heureux avec Ophélie! Je vous souhaite plein de bonheur, c'est ce qu'on dit je crois!

Et voilà, il suffisait d'un seul moment de faiblesse, ce moment où l'on cède, où finalement on sait qu'on fait une grande erreur, mais c'est si bon qu'on ne peut s'arrêter. Moi mon moment de faiblesse il était maintenant, Je sentais ses mains quitter doucement mon cou qu'elles entouraient, pour venir descendre doucement, je sentais ses dix doigts venir ce mettre sur ma chemise, pour la déboutonner, un léger sourire sur mon lèvre alors que notre baiser ne s'arrêtait pas, je venais remonter ma main doucement de la cuisse de Julie pour qu'elle revienne au niveau de sa hanche, où je faisais mes cinq doigts sous son haut afin de sentir sa douce peau, qu'inconsciemment j'avais longuement imaginé, même si je reniais et que je renie toujours l'aimer d'ailleurs !!! Doucement ma chemise laisser entrer l'air frais de la salle, je sentais de moins en moins le tissus sur ma peau, en me redressant de pas beaucoup afin de toujours embrasser Julie, je mettais mes bras de façon à ce que ma chemise ce retire. A ce moment précis mon téléphone qui ce trouvait dans ma sacoche sonnait, je l'avais entendu mais aucune envie me venais de me lever et voir qui appelait, pas maintenant, non je venais remettre ma main sous le haut de la blonde avec qui j'étais en train d'aller plus loin que ce qu'on nous autorisait. Mais quand ce petit appareil sonnait une nouvelle fois après le première appel, je n'avais pas d'autre choix que de rompre ce moment, cessait ce baiser en regardant Julie, avant de me relever et venir à mon bureau pour prendre dans ma sacoche le téléphone. En voyant ce prénom, mon cœur ne fit qu'un bon, je revenais à la réalité, j'étais en train de faire une erreur avec Julie, en train de braver un interdit qui m'attirais, mais je n'avais pas le droit de céder, ce prénom n'était nul autre que Ophélie. Sans répondre je venais reposer, mon téléphone sur le bureau en baissant mon regard en même temps, j'étais là, dans cette salle où je donnais mes cours, torse nu et surement pas loin de coucher avec une de mes élèves alors que pendant ce temps là ma petite amie essai de me joindre. J'avais raison en disant à Julie que je n'étais pas aussi bien qu'on pouvait le penser en me voyant, relevant mon regard je me tournais vers Julie, je parlais, je ne me comprenais pas moi même, mais pourtant ce que je disais, c'était bel et bien ce que mon élève entendait. Savoir qu'elle ne comprenait pas plus que moi d'où venait cette attirance ne me rassurais pas vraiment, mais de savoir qu'elle n'aurait pas pu aller plus loin, même sans les raisons de cela, me rassurait un peu, je savais qu'au fond même sans ce coup de téléphone, elle et moi on ne serait pas allé plu loin que ce qui c'était déjà passé et qui était bien trop. Julie n'avait pas besoin de me rappelais que je devais m'en vouloir de ne pas être loin de tromper celle qui partageait ma vie depuis deux ans, je voulais reprendre mon souffle pour lui parler mais sa main me fais comprendre qu'elle n'a pas fini de parler et je continue de l'écouter en la regardant, je ne savais pas pourquoi mais je craignais le pire. Et j'avais raison, elle voulait partir pour Enid, sa ville d'où elle venait.

« Ne fais pas ça, tu es venu ici pour réaliser ton rêve, ne le gâche pas à cause de moi. Je suis peut-être pas très malin d'en être venu à ce que j'ai fais, mais je peux pas te laisser gâcher ta passion qui pourrait être ton avenir. Tu as beaucoup de talent, et je suis pas le seul à le dire, et je sais aussi que pour toi comme pour moi ça ne va pas être simple si tu restes. Mais cette école a besoin d'élève comme toi, toi tu as besoin de cette école pour faire ce que tu aimes … Et moi je veux pas que tu abandonnes par ma faute. »

La pire erreur de ma vie était d'embrasser Remy hier et aujourd'hui de le suivre alors que je savais au fond de moi que ce rendez vous n'était qu'une excuse trouvé pour que nous nous retrouvions enfin seul, rien que lui et moi. Nous étions maintenant au sol, Remy sur moi et à ce moment là on se rendait pas compte dans quoi on s'embarquait. Alors que nos lèvres ne se quittent plus et que ses mains sont sur mes jambes, je relâche l'emprise autour de son cou pour venir déboutonner sa chemise afin de lui retirer. Lui vient remonter une de ses mains sur mes hanches afin de le passer sous mon haut. Au contact de sa peau si douce, un frisson me parcourt le long du corps et je commence à prendre conscience de ce qu'il se passe, et je crois que je ne pourrais pas. Je ne veux pas refaire la même erreur qu'avec mon ex, c'est impossible. Mais voilà qu'on venait s'interrompre par son portable qui sonnait pour lui faire comprendre que quelqu'un chercher à le joindre, mais apparemment il n'était pas décider à répondre et continuer à balader sa main sous mon haut. Je passes une main dans mes cheveux et je suis prête à lui dire d'arrêter quand son portable sonne une nouvelle fois et il se relève me regardant et quand il voit celui qu'il l'appelle, il change carrément de visage. Et oui sa petite amie refait apparition c'était sure, je me relèves alors redescendant mon haut sur mon jean et l'écoute parler. J'ai envie de lui crier que c'est un salaud, qu'il joue avec le cœur des filles pour finalement les briser, que c'est loin d'être un mec bien mais je le ferais pas tout est de ma faute si je l'avais pas embrasser la veille tout ça ne serait pas arriver, si je n'étais pas venue ici rien ne serait arriver. Je lui rends sa chemise et l'écoute parler, avant de reprendre à mon tour la parole. Alors que je reprends mon souffle, il veut repprendre la parole mais je l'interromps avec la main et lui apprends finalement que je pars de Enid, dans ma ville natale cet après-midi. Je l'écoute parler et remettant ma veste sur le dos, je lui dis alors:

Non ça ne va pas être simple, ça va être l'enfer tu veux dire je suis désolé mais c'est la vérité je pourrais pas venir à tes cours et faire comme si rien ne s'était passé comme si on avait pas faillit coucher ensemble! Comme si tu n'avais pas étais à deux doigts d'être infidèle, alors tu vois là ma passion va passer après je trouverais bien un taf dans ma ville ça me gènes je préfères à l'heure d'aujourd'hui renoncer à ma passion! Je suis désolé, et puis des élèves comme moi il y en aura j'en suis sure!

Et voilà, il suffisait d'un seul moment de faiblesse, ce moment où l'on cède, où finalement on sait qu'on fait une grande erreur, mais c'est si bon qu'on ne peut s'arrêter. Moi mon moment de faiblesse il était maintenant, Je sentais ses mains quitter doucement mon cou qu'elles entouraient, pour venir descendre doucement, je sentais ses dix doigts venir ce mettre sur ma chemise, pour la déboutonner, un léger sourire sur mon lèvre alors que notre baiser ne s'arrêtait pas, je venais remonter ma main doucement de la cuisse de Julie pour qu'elle revienne au niveau de sa hanche, où je faisais mes cinq doigts sous son haut afin de sentir sa douce peau, qu'inconsciemment j'avais longuement imaginé, même si je reniais et que je renie toujours l'aimer d'ailleurs !!! Doucement ma chemise laisser entrer l'air frais de la salle, je sentais de moins en moins le tissus sur ma peau, en me redressant de pas beaucoup afin de toujours embrasser Julie, je mettais mes bras de façon à ce que ma chemise ce retire. A ce moment précis mon téléphone qui ce trouvait dans ma sacoche sonnait, je l'avais entendu mais aucune envie me venais de me lever et voir qui appelait, pas maintenant, non je venais remettre ma main sous le haut de la blonde avec qui j'étais en train d'aller plus loin que ce qu'on nous autorisait. Mais quand ce petit appareil sonnait une nouvelle fois après le première appel, je n'avais pas d'autre choix que de rompre ce moment, cessait ce baiser en regardant Julie, avant de me relever et venir à mon bureau pour prendre dans ma sacoche le téléphone. En voyant ce prénom, mon cœur ne fit qu'un bon, je revenais à la réalité, j'étais en train de faire une erreur avec Julie, en train de braver un interdit qui m'attirais, mais je n'avais pas le droit de céder, ce prénom n'était nul autre que Ophélie. Sans répondre je venais reposer, mon téléphone sur le bureau en baissant mon regard en même temps, j'étais là, dans cette salle où je donnais mes cours, torse nu et surement pas loin de coucher avec une de mes élèves alors que pendant ce temps là ma petite amie essai de me joindre. J'avais raison en disant à Julie que je n'étais pas aussi bien qu'on pouvait le penser en me voyant, relevant mon regard je me tournais vers Julie, je parlais, je ne me comprenais pas moi même, mais pourtant ce que je disais, c'était bel et bien ce que mon élève entendait. Savoir qu'elle ne comprenait pas plus que moi d'où venait cette attirance ne me rassurais pas vraiment, mais de savoir qu'elle n'aurait pas pu aller plus loin, même sans les raisons de cela, me rassurait un peu, je savais qu'au fond même sans ce coup de téléphone, elle et moi on ne serait pas allé plu loin que ce qui c'était déjà passé et qui était bien trop. Julie n'avait pas besoin de me rappelais que je devais m'en vouloir de ne pas être loin de tromper celle qui partageait ma vie depuis deux ans, je voulais reprendre mon souffle pour lui parler mais sa main me fais comprendre qu'elle n'a pas fini de parler et je continue de l'écouter en la regardant, je ne savais pas pourquoi mais je craignais le pire. Et j'avais raison, elle voulait partir pour Enid, sa ville d'où elle venait, j'essayais de la convaincre de ne pas quitter cette école, de rester ici dans cette ville, ne pas abandonner sa passion, mais en plus d'avoir ce charme qui ne me laissais pas indifférent, elle avait un sacré caractère où le mot têtu n'y était pas si inconnu que cela. En la voyant refuser ce que je lui disais, je m'approchais d'elle, venant à ses côtés pour mettre ma main sous son menton pour qu'elle me regard, et je repris ma respiration.

« Regardes moi dans les yeux, et dis moi que tu souhaites vraiment arrêtez ta passion à cause de moi. »

La pire erreur de ma vie était d'embrasser Remy hier et aujourd'hui de le suivre alors que je savais au fond de moi que ce rendez vous n'était qu'une excuse trouvé pour que nous nous retrouvions enfin seul, rien que lui et moi. Nous étions maintenant au sol, Remy sur moi et à ce moment là on se rendait pas compte dans quoi on s'embarquait. Alors que nos lèvres ne se quittent plus et que ses mains sont sur mes jambes, je relâche l'emprise autour de son cou pour venir déboutonner sa chemise afin de lui retirer. Lui vient remonter une de ses mains sur mes hanches afin de le passer sous mon haut. Au contact de sa peau si douce, un frisson me parcourt le long du corps et je commence à prendre conscience de ce qu'il se passe, et je crois que je ne pourrais pas. Je ne veux pas refaire la même erreur qu'avec mon ex, c'est impossible. Mais voilà qu'on venait s'interrompre par son portable qui sonnait pour lui faire comprendre que quelqu'un chercher à le joindre, mais apparemment il n'était pas décider à répondre et continuer à balader sa main sous mon haut. Je passes une main dans mes cheveux et je suis prête à lui dire d'arrêter quand son portable sonne une nouvelle fois et il se relève me regardant et quand il voit celui qu'il l'appelle, il change carrément de visage. Et oui sa petite amie refait apparition c'était sure, je me relèves alors redescendant mon haut sur mon jean et l'écoute parler. J'ai envie de lui crier que c'est un salaud, qu'il joue avec le cœur des filles pour finalement les briser, que c'est loin d'être un mec bien mais je le ferais pas tout est de ma faute si je l'avais pas embrasser la veille tout ça ne serait pas arriver, si je n'étais pas venue ici rien ne serait arriver. Je lui rends sa chemise et l'écoute parler, avant de reprendre à mon tour la parole. Alors que je reprends mon souffle, il veut repprendre la parole mais je l'interromps avec la main et lui apprends finalement que je pars de Enid, dans ma ville natale cet après-midi. Il essaye alors de me raisonner et de me dire qu'il fallait pas que je quittes ma passion à cause de lui, mais il peut dire ce qu'il veut personne me raisonnera. Mais voilà qu'il s'approche de moi et posant sa main sous mon menton pour que je le regarde, il me dit de lui dire en le regardant dans les yeux que je souhaites vraiment arrêter ma passion à cause de lui. Je baisses les yeux mais il m'oblige à le regarder, je lui dis alors:

J'ai rien à te prouver de toute manière, tu devrais rappeller ta copine mais promets moi une chose ne dit rien à JT je ne veux pas qu'il le sache avant mon départ!

Et voilà, il suffisait d'un seul moment de faiblesse, ce moment où l'on cède, où finalement on sait qu'on fait une grande erreur, mais c'est si bon qu'on ne peut s'arrêter. Moi mon moment de faiblesse il était maintenant, Je sentais ses mains quitter doucement mon cou qu'elles entouraient, pour venir descendre doucement, je sentais ses dix doigts venir ce mettre sur ma chemise, pour la déboutonner, un léger sourire sur mon lèvre alors que notre baiser ne s'arrêtait pas, je venais remonter ma main doucement de la cuisse de Julie pour qu'elle revienne au niveau de sa hanche, où je faisais mes cinq doigts sous son haut afin de sentir sa douce peau, qu'inconsciemment j'avais longuement imaginé, même si je reniais et que je renie toujours l'aimer d'ailleurs !!! Doucement ma chemise laisser entrer l'air frais de la salle, je sentais de moins en moins le tissus sur ma peau, en me redressant de pas beaucoup afin de toujours embrasser Julie, je mettais mes bras de façon à ce que ma chemise ce retire. A ce moment précis mon téléphone qui ce trouvait dans ma sacoche sonnait, je l'avais entendu mais aucune envie me venais de me lever et voir qui appelait, pas maintenant, non je venais remettre ma main sous le haut de la blonde avec qui j'étais en train d'aller plus loin que ce qu'on nous autorisait. Mais quand ce petit appareil sonnait une nouvelle fois après le première appel, je n'avais pas d'autre choix que de rompre ce moment, cessait ce baiser en regardant Julie, avant de me relever et venir à mon bureau pour prendre dans ma sacoche le téléphone. En voyant ce prénom, mon cœur ne fit qu'un bon, je revenais à la réalité, j'étais en train de faire une erreur avec Julie, en train de braver un interdit qui m'attirais, mais je n'avais pas le droit de céder, ce prénom n'était nul autre que Ophélie. Sans répondre je venais reposer, mon téléphone sur le bureau en baissant mon regard en même temps, j'étais là, dans cette salle où je donnais mes cours, torse nu et surement pas loin de coucher avec une de mes élèves alors que pendant ce temps là ma petite amie essai de me joindre. J'avais raison en disant à Julie que je n'étais pas aussi bien qu'on pouvait le penser en me voyant, relevant mon regard je me tournais vers Julie, je parlais, je ne me comprenais pas moi même, mais pourtant ce que je disais, c'était bel et bien ce que mon élève entendait. Savoir qu'elle ne comprenait pas plus que moi d'où venait cette attirance ne me rassurais pas vraiment, mais de savoir qu'elle n'aurait pas pu aller plus loin, même sans les raisons de cela, me rassurait un peu, je savais qu'au fond même sans ce coup de téléphone, elle et moi on ne serait pas allé plu loin que ce qui c'était déjà passé et qui était bien trop. Julie n'avait pas besoin de me rappelais que je devais m'en vouloir de ne pas être loin de tromper celle qui partageait ma vie depuis deux ans, je voulais reprendre mon souffle pour lui parler mais sa main me fais comprendre qu'elle n'a pas fini de parler et je continue de l'écouter en la regardant, je ne savais pas pourquoi mais je craignais le pire. Et j'avais raison, elle voulait partir pour Enid, sa ville d'où elle venait, j'essayais de la convaincre de ne pas quitter cette école, de rester ici dans cette ville, ne pas abandonner sa passion, mais en plus d'avoir ce charme qui ne me laissais pas indifférent, elle avait un sacré caractère où le mot têtu n'y était pas si inconnu que cela. En la voyant refuser ce que je lui disais, je m'approchais d'elle, venant à ses côtés pour mettre ma main sous son menton pour qu'elle me regard, si elle en était vraiment sur elle allait me dire que c'est ce qu'elle souhaitait réellement, mais elle répondait à côté de ce que je lui demandais, ma main ne bougeait pas de son menton, ne pas le dire à JT, cela était bien une chose que je n'allais pas respecter venant de sa volonté, attiré certes par elle mais pas abruti au point de la laisser mettre sa passion de côté à cause de moi.

« Ne changes pas de sujet Julie, dis moi juste que arrêter cette école et tout abandonner c'est ce que tu souhaites. »

La pire erreur de ma vie était d'embrasser Remy hier et aujourd'hui de le suivre alors que je savais au fond de moi que ce rendez vous n'était qu'une excuse trouvé pour que nous nous retrouvions enfin seul, rien que lui et moi. Nous étions maintenant au sol, Remy sur moi et à ce moment là on se rendait pas compte dans quoi on s'embarquait. Alors que nos lèvres ne se quittent plus et que ses mains sont sur mes jambes, je relâche l'emprise autour de son cou pour venir déboutonner sa chemise afin de lui retirer. Lui vient remonter une de ses mains sur mes hanches afin de le passer sous mon haut. Au contact de sa peau si douce, un frisson me parcourt le long du corps et je commence à prendre conscience de ce qu'il se passe, et je crois que je ne pourrais pas. Je ne veux pas refaire la même erreur qu'avec mon ex, c'est impossible. Mais voilà qu'on venait s'interrompre par son portable qui sonnait pour lui faire comprendre que quelqu'un chercher à le joindre, mais apparemment il n'était pas décider à répondre et continuer à balader sa main sous mon haut. Je passes une main dans mes cheveux et je suis prête à lui dire d'arrêter quand son portable sonne une nouvelle fois et il se relève me regardant et quand il voit celui qu'il l'appelle, il change carrément de visage. Et oui sa petite amie refait apparition c'était sure, je me relèves alors redescendant mon haut sur mon jean et l'écoute parler. J'ai envie de lui crier que c'est un salaud, qu'il joue avec le cœur des filles pour finalement les briser, que c'est loin d'être un mec bien mais je le ferais pas tout est de ma faute si je l'avais pas embrasser la veille tout ça ne serait pas arriver, si je n'étais pas venue ici rien ne serait arriver. Je lui rends sa chemise et l'écoute parler, avant de reprendre à mon tour la parole. Alors que je reprends mon souffle, il veut repprendre la parole mais je l'interromps avec la main et lui apprends finalement que je pars de Enid, dans ma ville natale cet après-midi. Il essaye alors de me raisonner et de me dire qu'il fallait pas que je quittes ma passion à cause de lui, mais il peut dire ce qu'il veut personne me raisonnera. Mais voilà qu'il s'approche de moi et posant sa main sous mon menton pour que je le regarde, il me dit de lui dire en le regardant dans les yeux que je souhaites vraiment arrêter ma passion à cause de lui. Je changes de sujet rapidement en lui demandant de pas le dire à JT avant que je partes, j'ai pas envie qu'il me retienne. Je le regarde et lui dis:

Non c'est pas ce que je souhaite et alors, de toute façon je le ferais quand même et tu sais pourquoi parce que je préfères abandonner ma passion que souffrir! Ca te va?

Et voilà, il suffisait d'un seul moment de faiblesse, ce moment où l'on cède, où finalement on sait qu'on fait une grande erreur, mais c'est si bon qu'on ne peut s'arrêter. Moi mon moment de faiblesse il était maintenant, Je sentais ses mains quitter doucement mon cou qu'elles entouraient, pour venir descendre doucement, je sentais ses dix doigts venir ce mettre sur ma chemise, pour la déboutonner, un léger sourire sur mon lèvre alors que notre baiser ne s'arrêtait pas, je venais remonter ma main doucement de la cuisse de Julie pour qu'elle revienne au niveau de sa hanche, où je faisais mes cinq doigts sous son haut afin de sentir sa douce peau, qu'inconsciemment j'avais longuement imaginé, même si je reniais et que je renie toujours l'aimer d'ailleurs !!! Doucement ma chemise laisser entrer l'air frais de la salle, je sentais de moins en moins le tissus sur ma peau, en me redressant de pas beaucoup afin de toujours embrasser Julie, je mettais mes bras de façon à ce que ma chemise ce retire. A ce moment précis mon téléphone qui ce trouvait dans ma sacoche sonnait, je l'avais entendu mais aucune envie me venais de me lever et voir qui appelait, pas maintenant, non je venais remettre ma main sous le haut de la blonde avec qui j'étais en train d'aller plus loin que ce qu'on nous autorisait. Mais quand ce petit appareil sonnait une nouvelle fois après le première appel, je n'avais pas d'autre choix que de rompre ce moment, cessait ce baiser en regardant Julie, avant de me relever et venir à mon bureau pour prendre dans ma sacoche le téléphone. En voyant ce prénom, mon cœur ne fit qu'un bon, je revenais à la réalité, j'étais en train de faire une erreur avec Julie, en train de braver un interdit qui m'attirais, mais je n'avais pas le droit de céder, ce prénom n'était nul autre que Ophélie. Sans répondre je venais reposer, mon téléphone sur le bureau en baissant mon regard en même temps, j'étais là, dans cette salle où je donnais mes cours, torse nu et sûrement pas loin de coucher avec une de mes élèves alors que pendant ce temps là ma petite amie essai de me joindre. J'avais raison en disant à Julie que je n'étais pas aussi bien qu'on pouvait le penser en me voyant, relevant mon regard je me tournais vers Julie, je parlais, je ne me comprenais pas moi même, mais pourtant ce que je disais, c'était bel et bien ce que mon élève entendait. Savoir qu'elle ne comprenait pas plus que moi d'où venait cette attirance ne me rassurais pas vraiment, mais de savoir qu'elle n'aurait pas pu aller plus loin, même sans les raisons de cela, me rassurait un peu, je savais qu'au fond même sans ce coup de téléphone, elle et moi on ne serait pas allé plu loin que ce qui c'était déjà passé et qui était bien trop. Julie n'avait pas besoin de me rappelais que je devais m'en vouloir de ne pas être loin de tromper celle qui partageait ma vie depuis deux ans, je voulais reprendre mon souffle pour lui parler mais sa main me fais comprendre qu'elle n'a pas fini de parler et je continue de l'écouter en la regardant, je ne savais pas pourquoi mais je craignais le pire. Et j'avais raison, elle voulait partir pour Enid, sa ville d'où elle venait, j'essayais de la convaincre de ne pas quitter cette école, de rester ici dans cette ville, ne pas abandonner sa passion, mais en plus d'avoir ce charme qui ne me laissais pas indifférent, elle avait un sacré caractère où le mot têtu n'y était pas si inconnu que cela. En la voyant refuser ce que je lui disais, je m'approchais d'elle, venant à ses côtés pour mettre ma main sous son menton pour qu'elle me regard, si elle en était vraiment sur elle allait me dire que c'est ce qu'elle souhaitait réellement, mais elle répondait à côté de ce que je lui demandais, ma main ne bougeait pas de son menton, ne pas le dire à JT, cela était bien une chose que je n'allais pas respecter venant de sa volonté, attiré certes par elle mais pas abruti au point de la laisser mettre sa passion de côté à cause de moi. En l’écoutant me dire que son souhait n’était pas de quitter sa passion, mais de ne plus souffrir, je ne pouvais pourtant que approuver, j’étais le centre de cette souffrance. Mais je ne voulais pas la laisser partir, habitué à la voir a mes cours, à la croiser au café le matin, le midi ou encore même le soir juste après les cours. J’aimais l’aider à améliorer son talent tout comme avec les autres élèves et je voulais pas que tout cela s’arrête. Peut-être ce que je faisais était complètement idiot mais je le faisais, sans retirer ma main de sous son menton je ne la quittais pas du regard pour reprendre ma respiration.

« Non, ça me va pas. Je suis sûrement en train de te voir pour la dernière fois, après ce qui c’est passé je doute que tu reviennes a mon cours avant ton départ. Tu penses que je sais pas ce que je veux, et tu as raison, enfin je crois. Ca fait deux ans que je vis avec elle, en deux ans tout était plus fort que tout, mais aujourd’hui, c’est pas en autre amour que je me raccroche, mais a toi Julie. Le seul problème à tout cela c'est que je ne pourrais pas quitter Ophélie, me demande pas pourquoi, c'est moi, je suis comme ça. »

La pire erreur de ma vie était d'embrasser Remy hier et aujourd'hui de le suivre alors que je savais au fond de moi que ce rendez vous n'était qu'une excuse trouvé pour que nous nous retrouvions enfin seul, rien que lui et moi. Nous étions maintenant au sol, Remy sur moi et à ce moment là on se rendait pas compte dans quoi on s'embarquait. Alors que nos lèvres ne se quittent plus et que ses mains sont sur mes jambes, je relâche l'emprise autour de son cou pour venir déboutonner sa chemise afin de lui retirer. Lui vient remonter une de ses mains sur mes hanches afin de le passer sous mon haut. Au contact de sa peau si douce, un frisson me parcourt le long du corps et je commence à prendre conscience de ce qu'il se passe, et je crois que je ne pourrais pas. Je ne veux pas refaire la même erreur qu'avec mon ex, c'est impossible. Mais voilà qu'on venait s'interrompre par son portable qui sonnait pour lui faire comprendre que quelqu'un chercher à le joindre, mais apparemment il n'était pas décider à répondre et continuer à balader sa main sous mon haut. Je passes une main dans mes cheveux et je suis prête à lui dire d'arrêter quand son portable sonne une nouvelle fois et il se relève me regardant et quand il voit celui qu'il l'appelle, il change carrément de visage. Et oui sa petite amie refait apparition c'était sure, je me relèves alors redescendant mon haut sur mon jean et l'écoute parler. J'ai envie de lui crier que c'est un salaud, qu'il joue avec le cœur des filles pour finalement les briser, que c'est loin d'être un mec bien mais je le ferais pas tout est de ma faute si je l'avais pas embrasser la veille tout ça ne serait pas arriver, si je n'étais pas venue ici rien ne serait arriver. Je lui rends sa chemise et l'écoute parler, avant de reprendre à mon tour la parole. Alors que je reprends mon souffle, il veut repprendre la parole mais je l'interromps avec la main et lui apprends finalement que je pars de Enid, dans ma ville natale cet après-midi. Il essaye alors de me raisonner et de me dire qu'il fallait pas que je quittes ma passion à cause de lui, mais il peut dire ce qu'il veut personne me raisonnera. Mais voilà qu'il s'approche de moi et posant sa main sous mon menton pour que je le regarde, il me dit de lui dire en le regardant dans les yeux que je souhaites vraiment arrêter ma passion à cause de lui. Je changes de sujet rapidement en lui demandant de pas le dire à JT avant que je partes, j'ai pas envie qu'il me retienne. Mais il me dit de pas changer de sujet, mais de toute façon que je le veuille ou non ça change rien, je ne changerais pas d'avis je préfères encore oublier ma passion que souffrir. Mais il continue, c'est pas possible plus têtu que lui il n'y a pas, je vous assure. Il me force à le regarder, ce que je détestes en plus et lui dis:

Mais merde je t'ai jamais demandé de la quitter, c'est pas ce que je veux parce que toi comme elle vous méritez pas cela, en venant ici j'ai faillis détruire un amour qui était prétendu incassable aux yeux des autres et je veux qu'il le soit encore alors non je ne reviendrais pas à ton cours, tu ne me reveras pas et c'est mieux autant pour toi que pour moi! Il faut que l'un de nous deux s'éloigne, et c'est moi qui va le faire! C'est la meilleure solution pour le moment, mais malgré tout les moments passés avec toi je les apprécié même si pour toi c'est pas la même chose!

Je baisse alors les yeux, je veux pas qu'il me voit vulnérable j'ai pas le droit pas ici en tout les cas. J'essaye de faire comme si de rien était et il me demande de le regarder ce que je fais et je lui dis:

Il serait temps que j'y ailles, votre cours va bientôt commencer!

Je venais de remettre ma chemise que Julie m’avait lancé quand je lui disais que je ne pouvais pas faire cela, que je ne voulais pas faire souffrir Ophélie, que j’avais toujours jugé les gens qui trompaient leurs copine ou leurs copain comme des minables pour en arriver bien bas, et aujourd’hui j’étais pas loin, moi de le faire. Trahir l’amour que je portais pour celle qui partageait ma vie depuis deux ans, deux années qui avaient été les plus belles des vingt-sept années de ma vie. Cette attirance avec Julie m’apportais à faire des choses que je ne devais pas faire, et encore là, apprendre qu’elle comptait partir me rendait triste, je ne pouvais pas dire que j’étais amoureux de cette élève, mais depuis qu’elle était arrivé dans cette école et entrée dans ma vie, elle était devenu quelque chose d’important pour moi, une chose dont je ne pouvais plu me passer. Je savais d’avance que l’habitude de la voir en cours, à mon cours tous les jours allait me manquer, que de perdre cette chose qu’elle m’apportait allé m’amener à faire n’importe quoi, et comme à chaque fois, Ophélie n’allait pas comprendre, prendre cela pour elle et la conversation ce terminerait en dispute, et j’avais bien peur que l’absence de Julie est des plus grande répercutions sur mon couple qu’on ne peut le penser, c’est bête à dire mais son absence allait diriger mon couple droit vers un mur, et sa présence n’allait pas aider ma vie amoureuse a rester tel qu’elle était avant que Julie n’entre dans ma vie.

J’étais là, à côté de Julie, ma main déposait sous son menton pour qu’elle me regarde, mes yeux bleu étaient dirigé dans son regard marron, je lui avais demandé de me dire que c’était ce qu’elle souhaitait, mais pourtant quand elle le disait, je ne pouvais pas me dire qu’elle allait réellement partir. En reprenant ma respiration je ne sais pas pourquoi mais je lui disais ce que mon cœur pensait, ma raison me disait le contraire, et allait reprendre le dessus une fois que je serais sortit de cette salle, je ferais semblant d’être un homme amoureux et heureux. Entendre que le couple que je formais avec Ophélie était défini comme incassable par les élèves ou même les professeurs, ou encore notre entourage, laissait contredire ce que tout le monde disait au début envers nous deux, la jalousie de Ophélie et mon travail n’avait en rien séparé notre amour, et pourtant aujourd’hui même si j’aimais sincèrement Ophélie, j’avais cette étrange sensation de ressentir aussi ses sentiments pour cette élève. Je ne peux rien répondre face à ce qu’elle me disait, en sentant son regard ce baisser je retirais ma main en déplaçant a mon tour mon regard, j’avais en vu ce plateau de théâtre de ma salle, la première fois que j’avais vu le talent de Julie, un talent qui m’avait éblouit, sa sincérité dans ses rôles, cette façon de ne pas ce forcer à devoir jouer un personne, tout était vrai dans ses paroles, et aujourd’hui encore, même si elle ne jouait pas de rôle tout était vrai. Quand elle me disait qu’elle devait y aller je ne voyais pas d’intérêt de la retenir plus longtemps, sa décision était prise et personne surtout pas moi ne pouvais changer cela. Je venais me diriger à la porte de ma salle que j’ouvris pour qu’elle en sorte, et quand elle commençait à sortir je lui disais en sachant bien qu’il n’y avait personne dans le couloir susceptible d’entendre ..

« Je t’aime Julie. »

Ma décision était à présent prise, je repartais à Enid je crois que j'ai causé assez de dégâts comme ça, j'ai pas envie d'en causer plus que cela. Je rends la chemise à Remy et il l'a met donc, mais ce qui sera dure quand même c'est de pas le voir le matin je m'y étais tout de même bien habitué. Et puis j'avais pris mes habitudes, être dans la chambre de la pension, discuter avec tout le groupe j'étais bien malgré tout et malgré les deux mois et demi qui était passé, je m'étais bien fais accepté et ça m'avait permit de me rapprocher de mon meilleur ami. Mais toute bonne chose à une fin comme on dit, et puis je ne supporterais pas de rester bien plus longtemps ici. Pas avec ce qu'il se passe, pas avec ce qui a faillit se passer c'est hors de question. On ne sait vraiment pas ce qui aurait pu arriver si sa petite amie avait appelé, et même si je pense que je l'aurais arrêté j'en suis pas sure à 100% alors je n'ose même pas imagine ce que ça aurait déclenché tout cela. Une guerre sans merci avec sa petite amie? Je ne sais pas mais ça aurait était loin d'être une bonne idée, alors finalement ce coup de fil nous à surement sauvé. Mais le problème reste le même, on se sent mal l'un vis à vis de l'autre et si je reste ici ça continuera faut pas rêver. Ce qui a déclenché tout cela c'est sans aucun doute mon baiser de la veille, mais de toute façon si c'était pas arrivé maintenant ça serait arriver à un moment ou à un autre et ça aurait peut être était pire à ce moment là donc d'un côté vaut mieux que ça arrive maintenant enfin c'est mon avis après.

Il s'approche donc de moi et dépose sa main sous mon menton, m'obligeant à le regarder je ne sais pas tellement ce qu'il veut mais je vais pas tarder à le savoir. Quand il me demander alors de le regarder dans les yeux et de lui dire que c'est ce que je souhaite, j'ai du mal mais malgré tout j'y arrive. Mais apparemment ça ne lui convient pas encore, ah bah je peux pas faire plus il m'a demandé je le fais moi. Il n'accepte pas que je sacrifie ma passion à cause de lui, mais de toute façon je ne me vois pas rester là et puis c'est pas lui qui a décidé c'est moi alors il a rien à dire. De toute façon qu'il accepte ou pas ne changera rien, je suis bien décidé à partir quoi qu'il en coûte. Je sais très bien que là je suis en train de mettre une croix sur ma passion, je prends conscience de ce qu'il se passe mais bon c'est soit lui soit moi, il est prof ici, il a sa petite amie et les élèves l'adorent le choix est même pas envisageable c'est moi qui doit partir. Je sais très bien que si j'avais accepté de rester, il aurait fait des efforts mais les sentiments aurait était encore là de toute façon, ça n'aurait rien changer. Et puis, son couple est qualifié de incassable aux yeux des autres, et je veux que ça continue c'est génial qu'il est trouvé l'amour c'est ce que tout le monde souhaite alors je m'interposerais pas, hors de question. Je baisse le regard, il retire alors donc sa main sous mon menton et un silence s'installe entre nous. Je ne sais plus quoi dire ou quoi faire, de toute façon je crois que tout ce qui devais être dis vient d'être dit alors la seule chose que je trouve à lui dire c'est que je vais y aller. Il ouvre la porte pour que je sorte et alors que je suis à l'encadrement de la porte, il prononce les mots qu'il aurait pas du. Je reviens sur mes pas et fermant la porte, je m'approche de lui déposant mes lèvres sur les siennes. Je me recule et m'avançant vers la porte je lui dis:

Je t'aime aussi Remy! Bon courage pour la suite!